Une croix s’est posé comme un oiseau blessé
Et pourtant ses deux ailes sont largement ouvertes
Elle s’est enraciné dans la douleur offerte
Profitant des souffrances faiblesses fatiguées
Cet oiseau a des serres cachées sous son plumage
Son langage est douceur mais son bec est crochu
Il réchauffe ton cœur de mensonge en présage
Pour que tu n’aies plus froid mais toi tu restes nue
Je n'ai pas de mot pour traduire la beauté de ce poème...c'est MAGNIFIQUE ! Li-lou
RépondreSupprimerEt bien...tu ne seras pas canonisé ! Christian
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